18 mars 1978. Julie Anne Vertrees : « Cher Monsieur, Je suis désolé de vous écrire si tard, mais j’ai été malade à mon retour des Etats-Unis en février. Le professeur Anthony et Mlle Catherine Massip m’ont beaucoup parlé de vous et de votre travail (…) Il y a un an on m’a proposé d’écrire un chapitre sur les musiciennes à Paris au dix-huitième siècle. C’est un livre édité par deux musiciennes américaines, Jane Bowers et Judith Tick. (…) J’aimerais beaucoup pouvoir vous citer, si vous vouliez bien me permettre de lire votre thèse La Femme dans la musique française, 1643-1774. Il me faut rendre ce travail en juillet, donc des œuvres aussi complètes que la vôtre me sont très précieuses (…)

 23 avril 1981. Jacqueline Muller, rédactrice en chef du magazine de la musique Diapason, : « Monsieur, J’ai bien reçu votre lettre du 15 avril, j’aimerais que nous reparlions un petit peu, par téléphone, de ce papier en fonction de ce que vous avez glané à ce 1er Congrès national américain sur « les femmes dans la musique ». De toutes façons, je ne pense pas le passer dans le prochain numéro dont le sommaire est déjà complet. Je le passerai plutôt dans le numéro de juillet (…) » [N.B. Le dit article ne parut jamais]

 2 août 1982. Lili Maurice-Amour, professeur de Cours de Civilisation à la Sorbonne et à la Schola Cantorum (Histoire de la musique) et chargée de cours complémentaires (honoraire) à l'Université de Paris IV, U.E.R. de Musicologie : « Monsieur, Je prépare un ouvrage sur les femmes compositrices, de France, et d'Itale principalement, avec quelques incursions exceptionnelles en d'autres pays. Cet ouvrage est destiné à une maison d'édition qui publie des livres uniquement écrits par des femmes, et traitant de sujets féminins. Je serai donc très désireuse de consulter votre œuvre La Femme dans la musique française, 1643-1774. »

 6 septembre 1993.Claire Fontijn, Duke University Music Departement… à Mr le Conservateur de la Médiathèque du Conservatoire National Supérieur de Musique : « Au fichier central des thèses à Nanterre aussi bien que dans la revue « Recherches » sur la Musique française classique, se trouvent des références au diplôme de musicologie de Marcel VILCOSQUI, « La femme dans la Musique Française (1643-1744) » CNSM, 1973. Cette œuvre m’intéresse énormément (…) Je crois que cette thèse pourrait m’aider à mieux comprendre le rôle des femmes à l’époque. »

 31 octobre 2001. Geneviève Gueydan, Directrice Adjointe du Cabinet du Maire de la Mairie de Paris : « En qualité d'ancien professeur de la Ville de Paris, vous avez fait part à Monsieur Bertrand Delanoë de vos interrogations concernant la publication d'une série d'ouvrages sur le thème de La Femme dans la musique française (...) La Ville ne dispose à proprement parler d'aucun crédit en matière d'édition (...) »

 30 novembre 2001. Josseline de Clausade, Directrice des Affaires culturelles de la Mairie de Paris : « Monsieur, Vous m'avez adressé votre dernier opus sur "la Femme dans la musique française sous l'Ancien Régime" et je vous en remercie. Vous nous faites ainsi découvrir un pan ignoré de l'histoire de la musique en France et réhabilitez, à juste titre, le rôle des femmes dans la création musicale (...) »

 20 janvier 2006. Bibliothèque Marguerite Durand : « Monsieur, (...) Votre ouvrage nous intéresse beaucoup, ma collègue responsable des acquisitions à Marguerite Durand en a pris note pour ses prochaines commandes (...) »

 28 mars 2006. De l'Observatoire de l'Egalité Femmes/Hommes, Cabinet du Secrétaire Général de la Maire de Paris : Paris au XIXe siècle. Le Pari des Compositrices :un opuscule très bien illustré, de l'Association Femmes et Musique avec le soutien de la Mairie de Paris ! rédigé par 7 femmes et contenant les biographies de quelques musiciennes mondaines : la marquise Hélène de Montgeroult, Sophie Gail épouse d'un célèbre égyptologue, Louise Dumont-Farrenc épouse de l'important éditeur, Louise Bertin fille du directeur du Journal des débats (...) en revanche ne figure pas la seule compositrice, de condition très modeste, ayant eu l'autorisation de faire jouer une oeuvre lyrique dans les salons de l'Hôtel de Ville !!!